Avec l’avènement de la crise, tout le monde n’a qu’un mot à la bouche : capitalisme. Il est rapidement devenu le bouc-émissaire de tous nos maux. Mais sait-on vraiment au fond ce qu’il recouvre exactement ?
Son étymologie vient du latin “capitalis” de “caput” (la tête), ce qui représente les animaux d’un cheptel. Economiquement le terme apparaît au 16ième siècle. C’est avant toute chose un système économique et social, dont la caractéristique essentielle est la propriété privée des moyens de production (notion d’entreprise privée). Fondé sur la liberté des échanges (libéralisme), ses mobiles sont l’accumulation du capital et la recherche de profit — juste contrepartie de l’investissement réalisé (capital) et des risques encourus.
Dans la réalité, le capitalisme peut prendre différents visages. Il existe de nombreuses variantes. Il n’exclut en aucune façon un certain interventionnisme d’état. Certaines fonctions — comme la police, les hôpitaux ou les écoles — ne peuvent en effet être gérées par le capital privé et nécessitent des intérêts publics.
Dans notre subconscient, nous associons souvent les mots “capitalisme” et “spéculation”. Cette dernière a largement contribué à généraliser un certain nombre d’idées préconçues, souvent fausses et presque toujours dangereuses. Le “capitalisme” est avant tout le fait d’hommes et de femmes dont l’esprit d’entreprise les amène naturellement à parier sur l’avenir. Ils le font généralement en poussant de nouveaux concepts, en innovant et en créant de la valeur.
Ceux qui veulent sa mise à mort ont certes des raisons. Ses débordements et excès ont conduit l’économie au bord du gouffre. Pour les Marxistes — nous y reviendrons ultérieurement — le capitalisme s’identifie avant toute autre chose à une forme d’exploitation des travailleurs par les propriétaires (les patrons).
Certes le système libéral n’est sans doute pas la panacée. Mais a-t-on seulement réfléchi par quoi le remplacer ? Quel modèle ou système économique peut assurer, et même garantir, la survie de l’humanité, sans chaos, sans guerre, dans un climat serein ? Si l’on en croit les statistiques, à l’horizon de 2050, nous devrions être 15 milliards d’individus à partager les ressources de notre chère planète terre ! De quoi se poser quelques questions ?
Son étymologie vient du latin “capitalis” de “caput” (la tête), ce qui représente les animaux d’un cheptel. Economiquement le terme apparaît au 16ième siècle. C’est avant toute chose un système économique et social, dont la caractéristique essentielle est la propriété privée des moyens de production (notion d’entreprise privée). Fondé sur la liberté des échanges (libéralisme), ses mobiles sont l’accumulation du capital et la recherche de profit — juste contrepartie de l’investissement réalisé (capital) et des risques encourus.
Dans la réalité, le capitalisme peut prendre différents visages. Il existe de nombreuses variantes. Il n’exclut en aucune façon un certain interventionnisme d’état. Certaines fonctions — comme la police, les hôpitaux ou les écoles — ne peuvent en effet être gérées par le capital privé et nécessitent des intérêts publics.
Dans notre subconscient, nous associons souvent les mots “capitalisme” et “spéculation”. Cette dernière a largement contribué à généraliser un certain nombre d’idées préconçues, souvent fausses et presque toujours dangereuses. Le “capitalisme” est avant tout le fait d’hommes et de femmes dont l’esprit d’entreprise les amène naturellement à parier sur l’avenir. Ils le font généralement en poussant de nouveaux concepts, en innovant et en créant de la valeur.
Ceux qui veulent sa mise à mort ont certes des raisons. Ses débordements et excès ont conduit l’économie au bord du gouffre. Pour les Marxistes — nous y reviendrons ultérieurement — le capitalisme s’identifie avant toute autre chose à une forme d’exploitation des travailleurs par les propriétaires (les patrons).
Certes le système libéral n’est sans doute pas la panacée. Mais a-t-on seulement réfléchi par quoi le remplacer ? Quel modèle ou système économique peut assurer, et même garantir, la survie de l’humanité, sans chaos, sans guerre, dans un climat serein ? Si l’on en croit les statistiques, à l’horizon de 2050, nous devrions être 15 milliards d’individus à partager les ressources de notre chère planète terre ! De quoi se poser quelques questions ?